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“C'EST RIEN, C'EST QUE DE L'ÉLECTRICITÉ”
- TWITCH
Gardez bien en tête que les agents sont en cours de développement et que les informations disponibles à l'heure actuelle peuvent être modifiées d'ici le lancement du jeu.
Née dans la ville historique de Nancy, Emmanuelle Pichon a grandi dans une famille accordant une grande importance à l'éducation, et en particulier aux sciences et aux mathématiques. Très vite, elle a participé à des concours de programmation, puis a rejoint un établissement d'enseignement militaire dès l'âge de seize ans.
Experte en technologies, Emmanuelle Pichon a tendance à utiliser les gadgets pour aider son unité. Elle emporte en opération un petit drone capable d'infliger des chocs électriques aux ennemis et aux pièges.
Si vous entendez des pièges ennemis, faites appel à Twitch. Elle peut déployer un drone à électrocution équipé d'un taser à courte portée capable de désactiver tout système électronique et même d'infliger un léger choc électrique aux ennemis. Dans la mesure où vous disposez d'un drone d'observation et d'un drone à électrocution, utilisez-les dans les situations appropriées : observation pour l'éclairage et la localisation de pièges et électrocution pour les désactiver.
Lors des sièges extrêmement tendus, employez également le drone à électrocution pour distraire les ennemis afin que vos équipiers puissent progresser et éliminer la menace. Veillez cependant à toujours désactiver les brouilleurs proches de vous car le drone à électrocution y est sensible. Par ailleurs, les ennemis étant toujours prompts à tirer, rappelez-vous que le drone à électrocution est plus grand que le drone d'observation standard, plus lent et incapable de bondir : veillez à pouvoir le mettre à l'abri en cas de tirs ennemis.
Le drone à électrocution peut mener des reconnaissances et envoyer un choc électrique par le biais de sondes capables de désactiver les appareils électriques et de générer des diversions. Le châssis dispose de plusieurs de ces sondes.
Le premier déploiement officiel du RSD Model 1 a eu lieu lors d'une prise d'otages à Paris. Un individu mentalement instable s'était barricadé dans une supérette, prenant plusieurs personnes en otages. Le GIGN chercha à résoudre la situation sans recourir à la violence. Emmanuelle Pichon, qui faisait partie de l'équipe, a pu approcher suffisamment le drone du forcené pour lui infliger un choc électrique qui lui a fait lâcher son arme. Il a ensuite été incapacité par un agent infiltré. L'incident a ainsi pu être résolu sans pertes.